D’avril 2013 à avril 2018, la Ghouta orientale et ses habitants subirent un siège impitoyable de la part du régime de Bachar Al-Assad. Firas Abdullah, jeune citoyen – photographe, témoigne en images.
12 novembre 2017 – Par Firas Abdullah
« Si le sang versé par nos enfants était du pétrole, le monde interviendrait immédiatement »
dit une banderole écrite par des activistes de la ville de Douma le 12 novembre 2017.
Cette phrase est adressée à l’équipe de l’ONU et au Comité international de la Croix-Rouge afin d’exprimer la colère des assiégés et de protester contre l’inaction totale pour faire cesser les massacres de l’armée syrienne contre la Ghouta orientale.